Une personne sur cinq occupant en Suisse un poste à responsabilité travaille à temps partiel. Alors que les modèles de temps de travail flexibles trouvent de plus en plus d’adeptes, les préjugés et les schémas traditionnels de répartition des rôles empêchent une réelle progression dans ce domaine. Le White Paper de Careerplus illustre les bénéfices de ces modèles et les options de mise en œuvre pour les entreprises.
Neuf hommes sur dix souhaitent travailler à temps partiel. Et dans six cas sur 100, c’est une femme qui est aux commandes de la direction générale d’une entreprise. Étonnant, non? Préjugés, modèles de travail et horaires de présence rigides, manque de solutions pour la garde d’enfants: autant d’obstacles qui empêchent les femmes d’accéder à des postes de direction et aux hommes de réduire leur taux de travail. Mais alors comment une entreprise devrait-elle encourager les modèles de temps de travail flexibles? Quels sont les avantages du temps partiel et du job sharing? Notre dernier White Paper «Carrière et temps partiel, rêve ou tabou? Les modèles de temps de travail flexibles dans les étages de direction» répond à ces questions par des exemples concrets. Vous y trouvez également une interview de Jacqueline Scheuner et Jana Jutzi, co-directrices générales de Careerplus, qui parlent de leur expérience du top sharing. Le document révèle par ailleurs des études passionnantes menées sur cette thématique ainsi qu’il vous livre des liens qui vous seront très utiles pour vos propres démarches.